Et il s’y prenait bien le bougre. Il se risqua à lécher un peu l’entrée de mon anus. Etait-ce de la maladresse ? Je suis convaincue que non ! Je crois plutôt que Monsieur savait s’y prendre. J’en ai eu la confirmation par la suite. Alors que je commençais à ressentir du plaisir grâce à sa langue qui vagabondait avec élégance autour de mon clitoris, il enfila un préservatif avec une vitesse incroyable pour me pénétrer avec vigueur dans l’enchaînement. Je ne vous explique pas le choc. J’étais en extase mais je ne voulais pas le lui montrer tout de suite, il fallait qu’il fasse encore mieux que ça. Mais bientôt, je sombrai sous ses coups de reins énergiques et mordit à pleines dents dans le premier coussin que je puis saisir, afin de ne pas déranger tous les environs.

Soudain, il se retira. Waw, j’étais épuisée. Je me retournai pour le voir. Il était beau et transpirait à peine. Son torse me rendait folle, mais il m’avait détruite. Je me laissai tomber sur le dos et il se pencha sur moi. C’était pour m’embrasser bien sûr et il le faisait bien. Mais soudain, je sentis ses mains me caresser à nouveau, son corps se fixa contre le mien et il me pénétra. Ah le cochon, ah le traître, mais comme il faisait ça bien. Je ne pus qu’écarter les cuisses, je cédai à la pression et à mon désir. Mais le jeu de jambes ne faisait que commencer. Tout en me faisant l’amour avec sa vigueur jamais chancelante, il m’écarta les jambes tant qu’il put, avant de me faire revenir au point de départ puis d’écarter les siennes à son tour, ce que peu d’hommes font de bonne grâce, les sots !

Ah, que cet homme était vaillant. J’en avais eu de la chance. Après tout, ce n’était pas parce qu’il était bien monté qu’il était forcément bon au lit. Et il continuait à me tourmenter sans relâche. C’est finalement ma bouche entraînée qui vient à bout de sa résistance. Le contact de ma langue qui allait et venait sur son gland, le tout associé à des petits coups de poignets rapidement et un suçage bien huilé lui firent lâcher la sauce, et enfin il se montra sous son jour le plus vulnérable. Il se coucha de tout son long sur mon canapé, et je restai là un long instant, contemplant son corps superbe. Nous avons encore fait l’amour plusieurs fois à la suite, dès qu’il eut rechargé ses batteries. Puis il s’en alla, et je ne savais pas si je le reverrais. Mais de toute façon, vous le savez, je n’ai jamais de regrets.